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Le Th​é​or​è​me

by Obia & Cotola

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Pour le love 02:31
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Ou Konnen 04:09
Cotola sur la prod, sur le beat, tu connais la suite ; emcee prend la fuite Tu dois conserver ton emploi T'as compris, tu te trompes pas Obia le motherfucking chief enfouarré tu connais le tron-pa Deux doigts pour le block et le street, anti-flic, nique nique la police On connait nos droits Un doigt pour les proches qui nous quittent trop vite Puff le weed et verse un peu de 'son-boi Très clean, la vodka Grey Goose Moët, Grand Marnier, pop la teille-bou On s'incline devant Jah c'est tout Au fait, enfouarré, fuck toi, paye nous Mets le fric dans la mallette, envoie ça à la poulette au Reine Elizabeth Chambre 112 mec dans la tour Est Jte crie après comme si j'avais la Tourette Soufflette si tu rouspètes 3e couplet On n'a plus l'choix que les mains vides Ils ne veulent juste pas qu'on devienne libre Ici, tu vois, c'est nous les cibles Jamais dans la ture-voi sans se faire suivre Negro dans la rue t'as vu qu'on s'imbibe Si jamais on n'jure pas sur la Sainte Bible C'est que l'Alpha Omega jugera le résultat Je dis à ces pules-cra qu'ils nous laissent vivre Fais bélec, respecte, tu le sais dès qu'tu vois mes neg' Gee qu'est-ce tu crois? Courvoisier sec et l'idée c'est qu'on va faire ce blé mec Je suis très sur ça Ban' pussywhole on vous détecte T'inquiète, on le sais fait qu'face aux métecs Faut clouer l'bec et pas nous donner de prétexte Montréal, Québec tu connais l'endroit
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Invictus 03:30
Ouais De Montréal jusqu'au réserves en Outaouais Tu sais d'où tu viens, où tu vas, où tu es Propulsé dans cette vie ; t'es une balle perdue pour de vrai Man, faut pas perdre le fil Même quand la merde s'empile Soit bénie la terre sur laquelle tu piles Pharaon, roi marron qui traverse le Nile Des raisons d'prier, on n'en voit aucune Quand on chasse les gros billets qui ont la peu brune Pour chaque négro figé dans un costume On est obligé d'guider les enfants posthumes Car ils sont nés dans un étrange casse-pieds Faut les encadrer dans l'quartier Jette les dés, prend l'papier C'est un jeu d'chance négro, R.E.P. Paul Frappier Word Poupée t'as vu le bilan, les émeutes Quand t'analyse à la Sigmund Freud Tu vois nous et la rue comme Tristan et Iseult La révolte écrite dans le sang de tous les Camus Qui veulent qu'le ciel gris-blanc se bleute C'est un défi grand : dans la matrice du temps Si tu veux trouver l'salut, tu dois être distant et neutre Le stress double ; j'envois les coudes avec des mecs troubles Mektoub Que tu sois un neg crip ou un neg blood Quand le ciel s'ouvre, c'est la même foudre On garde la torche soulevée Ici où les jeunes George W. coupent ta gorge pour le blé C'est un jeu d'chance, roule les dés T'as deux choix : tu peux soit te vendre ou crever
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J'dois partir mais j'vais revenir, t'inquiète pas J'dois assurer notre avenir, reste sage Ne m'attends pas et endors toi, ça sera bientôt fini Car on doit, oui, on doit foutre le camp d'ici Je sais qu't'es pas contente Ne cherche pas à comprendre mais je dois partir jusqu'au mois d'Novembre Faut que cash il rentre quand c'est ça qu'il manque Surtout quand j'regarde ton ventre et je vois qu'il enfle La vie est brève, dure, salissante Mais un rêve mûr nous alimente, avant que j'crève c'est sûr qu'on doit s'y rendre On cherche une étoile filante Tu sais qu'le mercure augmente mais reste pure, patiente Faut une porte de sortie, malgré la chute on veut un choc amorti Rien n'va plus c'est comme un genre de loterie Donc on développe le produit, on donne le stock aux custies Faut qu'on en sorte un profit, il faut du kob dans notre vie Puis y'a nos gosses qui grandissent Tu sais qu'elles ont besoin de trucs, épargne-moi les disputes, arrête les folies j't'en prie J'te jure que je reviendrai comme j'ai promis Passe-moi les enfants... laisse-moi leur souhaiter bonne nuit Hey ma grande, comment tu vas? J'aimerais tellement pouvoir te prendre dans mes bras Désolé qu't'aies du entendre ça encore une fois Tu sais chérie, maman et moi... Entoucas, raconte-moi ta journée à la garderie Dis-moi pas qu't'as pleurniché et fais une autre crise dans la classe à Mme Fleury? Et ta mère, son ami secret, parle-moi de lui Est-ce qu'il fait encore des passages de nuit à chaque jeudi ? Allez, t'es fatiguée, j'te vois bailler doucement Bientôt y'aura plus de vacarme et d'boucan Et pourtant ça m'déchire qu’on ne s’voit pas assez souvent Tu m'dis «papa, pourquoi toi tu dois travailler tout l'temps?» Je t'aime chérie, faut vraiment qu'j'y aille Passe-moi ta p'tite soeur, je l'entends qui braille Que j'lui dise un mot, j'suis en chemin Refrain
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De l'art dans les rythmes et les poèmes Le rap hermétique, le phénomène On ne voit que les défis, pas les problèmes De l'âme de l'esprit, le Théorème Pas besoin d'expliquer mon thème T'as qu'à maitriser les hiéroglyphes et déchiffrer les totems Érigés pour qu'les qu'les prochaines lignées d'indignés puisse briller Et s'identifier en tant qu'héritiers du Théorème Les tribus maures contre les unités romaines Les illuminés veulent nous crucifier car on a pu briser nos chaines Ceux qui peuvent ruminer comprennent Obia l'chef navigue comme Gilgamesh avec panneaux solaires et turbines éoliennes Même sous l'eau, reconstruit la vie Sous l'soleil rien d'nouveau, on vit la nuit Et pour faire sombre la tyrannie on fera fondre tout l'or De New York, de Londres et de l'Italie J'incarne le mot qui jaillit du buisson vis-à-vis le jeune Moïses Assis sur le mont Sinaï Conspiracy d'oligarchie Profonde imagerie mais t'as aucune idée de ce dont il s'agit... Refrain (Cotola) Une simple pensée de gratitude vers le ciel Dans le thalamus l'étincelle allume l'azimut des méridiennes À travers les années on fera la lutte aux infidèles Leurs noms effacés de l'éternel papyrus du Théorème À l'heure pour l'alerte, à l'intérieur de la bête Et du coeur de la tempête, traverse le feu et les averses J'manoeuvre le trajet, dans l'creux d'la navette Vengeur d'mes ancêtres empereur Aztèque 5e saison dès qu'on débarque Dans le réseau illégal avec un syndrome du Vietnam Gloria madre, gros ras d'marrée d'soldats parés Comme des cobras d'acier sur le volcan caché de la montagne sacrée Développe les méthodes des loges cosmiques Période hostile, désordre morbide Sérotonine secrétée par la ghetto doctrine Mais bientôt s'approche l'exode promis En dessous de l'arctique des continents, on a bâti des monuments Active les portes géantes, on s'aligne vers l'Orient Dans une machine qui explore le temps, habits pleins d'ornements On arrive abord du grand navire en or pesant C'est la panique des morts vivants Qui salivent pour notre sang La nuit on sort les gants, on a pris l'trésor du temple Les archives du 11 septembre, ma clique sabote leur plan On trafique les documents des nazis, des ogres blancs Qui manient la force du vent, de la pluie, des océans Tu vois fils, le calibre est opulent On gravite en ovni dans la matrice en orbitant On a l'oeil sur les p’tits arbitres connivants Donc agis en conséquent ; reste assis, décore le banc En bandit on transcrit les sanskrits Et ensuite on s'enfuie : la magie est omnisciente
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Sur un banc d'école à Côtes-des-Neiges, p'tit patnè tente d'apprendre le florilège Même sans petit dèj Timbs blanc et beige, ça lui est presque égal Depuis toujours, il crève la dalle sur l'aide sociale Sous la même étoile, tu n'es pas né Pour vendre des roches, ici le gosse lâche l'école en 4e année Tant qu'à faire des «F» sur les tests, il erre dans les tess 1er du mois, son père flex avec le chèque de BS Il refuse de franchir le seuil du centre d'accueil Coincé entre l'encre et la feuille Au lieu de faire la file sur les banques alimentaires Il préfère les deals mec, à l'emploi des gangsters Il a vu son grand-frère se faire menotter, à grandit en voyant sa mère se droguer Pourtant le mec est opé Il rêve de chaines en or et de Jordan rétro Tel est le sort des enfants du ghetto ? Les enfants du ghetto cherchent une meilleure vie Dans cette jungle en béton, fiers et incompris Les enfants du ghetto, tenez bon La tête haute (bis) En allant au dépanneur pour des clopes, j'vois le gosse de Chuck Devant l'immeuble, il sirote une sloche - Wssup?! Tu vois négro, Chuck, c'est mon pote, il vend des drogues fortes Hier il s'est fait buster par des cops croches La flicaille a défoncé sa porte, pas de «toc-toc» Le petit mangeait des Cocoa Puffs, fuck! Ils n'ont pas niaisé avec la puck, negro : chop chop Le gamin est encore sous le choc. - Comment ça va mon pote? Je lui dis «qu'est-ce tu fais là?», il dit «j'attends papa«... Sale embarras ! Tu vois sa maman Sarah elle travaille au Kama Mais ces derniers temps, elle frappe Ottawa car les braves gens font plus d'argent là bas 40 carats sur le doigt, tatou sur l'avant-bras droit Chaque fois qu'on la voit elle fait tout pour qu'on remarque son dada ; la go lâche pas! Maintenant qu'ils ont mit son gars au card-pla elle dit «Allo, ça va?» J'lui dis «cherche une meilleure vie pour le môme», et puis «Sayonara!» Refrain
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À-bas 04:12
On préfère se pendre et s’ouvrir le ventre plutôt que d’se rendre Révolver sur la tempe, bien que l’enfer m’attende on n’va guère se rendre Ignorance et haine – À bas La souffrance humaine – À bas Babylone système – À bas Ceux qui taxent l’oxygène – À bas Nouveau colonialisme – À bas Vos bourreaux fascistes – À bas Tous nos soldats disent – À bas J'ai entendu qu'un jeune renoi se doit d'vendre l'âme Pour oser dormir la tête reposée, le ventre calme Ça explique la revente de camme car la bicrave est dans le crâne Tous mes geez braves et gentleman on fait le Jihad avant qu'on crame ; à jamais on niquera les oncles Sam Mon clan réclame l’Afrique, l’Arabie, les caraïbes L’Asie, les Antilles, les Amériques ; tant que ça n'arrive, on ne sera pas libre Chapitre de caïds ; quand on rapplique, on est rapide La terre entière est un champ d'coton, les colons, faut qu'on les décapite, qu'on les lapide Pas d'otages, que des gars sauvages ; salaud t'as jamais vu un sabotage T'es malade? On attend pas de réparations : mes vagabonds passent à l'action, fuck tout le placotage 40 hectares et une bonne mule ça ne va rien arranger car on vous encule Tu chies dans le froc lorsque tu vois l'orage mais, attendez d'voir... Babylone brule Y'a des flammes mais c'est pas le genre Waka... Dis-moi, là tu penses à quoi ? Tu fais le tata? T'as qu'à écouter le rat-tat-tat-tat-tat quand un soldat prend le AK Ils font ça sans tracas, les negs ils sont «pa nan kaka» ; tu vois que la violence est gratos quand tu prends des bastos Tu comprends la cause du commandante Marcos et de Thomas Sankara Refrain J'me sens comme Makandal, Marcus Garvey On touche à l'argent sale, malgré ça Dieu soit Loué Tous malade mental pour le kob, développe des astuces variées Tout l'caca t'emballe mais négro tu peux finir chez Magnus Poirier On a l'honneur, l'éthique ; que des voleurs d'élite, j'sais pas qu'est-ce que tu présumes Fais vite quand tu prends l'honneur des flics avec les moteurs V8, pas de jus d'légume Et dans mon aile, #parano : on dit rien sur le phonetel, même pas «Allo» Quitte à finir dans l'jail, #Guantanamo : on envoie des cocktails, pas de Clamato Idiot, mes scélérats toujours ils vont baiser l'état On a pas de love mais des kalachnikovs, 9mm Kaliko et Beretta, Desert Eagle, etc. Missiles en vrac et mes types ils s'en tapent s'ils finissent comme Pac C'est d'ici que mes dissidents frappent ; on agit comme des militants black depuis 1804 On sort de la famine, on connait l'anarchie ; les combattants sont partout négro, même au Yukon Protège ta famille ; personne n'est à l'abri quand les obus vont raser tous les ghettos du fond Fuck le FMI et leur économie, tu sais que même terrassé tous mes négros lutteront À la mort ou à la vie car on est plus fort que l'ennemi ; ça parait patnè que t'es pas prêt pour la révolution Refrain
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Pour ceux qui étudient même les week-end Vont de la faq au lit #Tiken Où qu'ils aillent et d'où qu'ils viennent Rebâtit le système c'est la lutte faut qu'on y tienne Et ceux qui devaient lâcher le pupitre; En avant c'est pour de vrai faut aller plus vite Pas le temps pour les regrets faut jamais qu'tu quitte Tu es le secret de ta réussite Spontanée subite, l'étincelle jamais ne s'éteint Seul toi peux mettre ton grain de sel, capter le brin de ciel à ta portée La mort est cousine de Morphée alors fais gaffe Tu dors, ta fin est amorcée C'est une corvée de retrouver la foi mais on n'courbera pas l'échine, C'est un jour à la fois qu'on encaisse les coups que voilà Dès que tu goutes à l'appât, tu vends ton âme mais les flammes ne ont pas rembourser l'achat Écoute la voix, ouvre la voie, le destin dans l'oreille siffle ; maintiens ton objectif Ça n'arrête pas, voilà la leçon Sa kap fèt la; Loi d'attraction Refrain L'enfant des cités d’or voit le ghetto comme un jungle. Se lève comme un bambou, c'est un élève de John Woo Ses poings c'est du Kung Fu, sa tête est un battle field il calcule à mesure que les bateaux filent. Il barre des lignes et compte les solstices Lui qui est le seul fils, fruit d’une soul sista Venu au monde dans bidon ville, Sol triste, Où le colon remplaça le soleil par un Sunkiste. Sun qu'est ce qu'il ya demanda la mère. -Où est mon père ? -Demande à la mer ! Il demanda à la mer, la mer pointa le fils Le fils vit la beauté dans l’eau mais pas comme narcisse La révolution est un loop, god est un beatmaker Tu lèves et on te baisse Gars t’es un p’tit fader Petit Tom a son Kalachnikov Il se dit : han je n'ai pas lâché l’école Depuis quand que le paradis est pauvre ? Que les p’tits anges ils sont mal habillés, anh ? On voit L’Armageddon enflammer les bidonvilles, armer les ghettos Qui sont ils ? L’arme du devil. Qui veut dire : ramener la raison Keep it real.
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Désolé 03:52
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Dédicace 03:50
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C’est la fin du monde, tout s’effondre Et le ciel est gris mais nous on reste ici C’est l’heure du décompte, les dernières secondes On célèbre la vie et ça n’sera jamais fini Tous mes Zulu one love, Il est temps que la tables tournent pour les affranchis les cailleras Ça sera toujours foktop, Même après le 13e baktun sur le calendrier Maya Au douze coups d'l'horloge Saute dans la kiat, vroum, tu peux m’entendre crier faya Glou glou puff puff, En famille avec un tas d'goons sur le top de l'Himalaya Obia jeune Galactus J'crois pas que la révolution s'visionnera sur le Canal Plus J’trust pas Nostradamus, Kob noir, fuck code bar, dans l'bras dog t'as la puce Dans les veines vous avez l'venim, bouges avec le grain Oublie ça je touche pas les seringues Ta meuf me demande «pourquoi t'es serin?» Bébé tout à fait je viens du futur fuck le jour après demain On voit les habitants de Babel périr Une vie à vivre mec, le cartel délire On vit comme après l'Hégire En attendant la mort de Netanyahou et d'Omar El Béchir Rap lourd on le crache pour les innocents palestiniens Les habitants du Darfour Bien avant le traité d'Balfour pour nous c'est le compte à rebours On attend la fin du monde chaque jour Refrain Trinque pour mes gens qui passent le nouvel dans l'jail Mes vagabonds face aux accusations formelles On va tous y passer de toute façon, bordel Il est temps chérie qu'on fiche le camp ; Roswell Sentinelles dans le kay kho Fuck où tu veux qu'on aille mon pote File à l'aéroport j'suis à Caïro ; glock pour les i-robot Dans les ghettos, la racaille complote Ça ne sera jamais fini, passe le heemy File en catimini jusqu'en Abyssinie J’suis en Haïti si tu me cherches negro y’a pas de chichi On est parti d'ici l'ami si si appelle-moi Houdini Crame un philly pour ceux qui ont rendu l'âme Tous les gars qui sont parti et les femmes, n'oublie pas Malgré le drame, toujours là Attitude de gratitude ; voici, tu n'as qu'à dire al Hamdulillah Remercie le Très Haut, c'est pour la vie, au d'sus des tsunami Gravité zéro dans l’vesseau Annunaki Peu importe la météo mec j'ai des métaux spéciaux Le réseau de negro s'étend jusqu'aux ghettos d'Abu Dhabi Dans les streets où les beez nous sondent File chez les Inus mec le skidoo gronde Avant qu’les igloos fondent et que la planète Nibiru sombre On dit PEACE tout l’monde Refrain

credits

released May 21, 2013

Naman Cale : orgue, xylophone- piste 2 / bass et guitar - piste 11 et 13
Celia Laroque- Pierre : saxophone - piste 2
Marco Rodi : Bass - piste 16
Rosa Smedley : Voix - piste 14
Dj Phak : scratchs - piste 4,7,9,10
Dj Johnny Illdigger : scratchs - piste 2 et 15
Stacy Dort : voix - piste 6
Photo : Mariel Rosenbluth
Peinture : Monk-e
Mastering : Steven Berson (NYC)
Executive Producer : Mirko Zamor

Écrit par Obia Le Chef
Produit par El Cotola
Soltec Records

Album également disponible sur iTunes

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about

Obia & Cotola Montréal, Québec

"... Obia le Chef (...) est un des rares rappeurs qui fait l’unanimité dans la scène Hip-Hop au Québec. El Cotola - constituant l’autre moitié du groupe (...) est pour sa part un beatmaker hors-pair cumulant énormément d’expérience comme compositeur..." - HHQC
Suite à leur précédent opus Le Procédé (Soltec productions, déc. 2011), Obia et Cotola présentent «Le Théorème», disponible le 21 mai 2013.
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